SEPI

Description de la figure 1

La figure 1 est un tableau à sept rangées montrant le modèle logique de la sous-activité des Systèmes énergétiques propres pour l’industrie.

• La rangée du haut, intitulée « Objectifs », indique les objectifs, soit : Travailler avec l’industrie à améliorer et mettre au point des technologies et des processus industriels qui amélioreront l’efficacité énergétique et réduiront les émissions atmosphériques industrielles (c. à-d. principaux contaminants atmosphériques [PCA] et gaz à effet de serre [GES]), tout en garantissant que l’industrie canadienne demeure productive et compétitive.
• La deuxième rangée est intitulée « ressources » et montre trois cases, côte à côte, indiquant les trois programmes de financement de la sous-activité. Ces programmes sont le Programme de recherche et de développement énergétiques (PRDE), l’Initiative en matière de technologie et d’innovation appliquées au changement climatique (ITICC) et l’Initiative écoÉNERGIE sur la technologie (ecoETI).
• La troisième rangée est intitulée « Programmes/activités » et indique les activités de chacun des programmes de financement de la rangée précédente.
• Pour le PRDE : Financement de projets de S et T visant à faire progresser la consommation propre et efficace de l’énergie par l’industrie dans les domaines de recherche suivants : intégration avancée des processus et des technologies, combustion industrielle avancée et technologies de transformation.
• Pour l’ITICC : Financement de projets de S et T visant à réduire les émissions canadiennes de GES dans les secteurs suivants : Fer et acier, Mines et fontes, Ciment et chaux, Pâtes et papiers, Production de produits chimiques, Raffinage du pétrole, Autres secteurs de fabrication.
• Pour l’ecoETI : Financement de projets de S et T visant à réduire les émissions canadiennes de GES et de PCA dans les secteurs suivants : Fer et acier, Mines et fontes, Ciment et chaux, Pâtes et papiers, Production de produits chimiques, Raffinage du pétrole, Autres secteurs de fabrication.
• La quatrième rangée indique les extrants de la sous-activité, soit :
• détermination, conjointement avec les partenaires de l’industrie, des technologies prometteuses et des domaines cibles;
• connaissances scientifiques et techniques sur les technologies, les approches et les systèmes nouveaux ou améliorés (tels qu’illustrés par les outils, les modèles, les bases de données, les concepts, les études, les publications, les méthodes, les technologies de laboratoire, les essais sur le terrain et la mise au point d’équipement).
• La cinquième rangée indique les quatre résultats immédiats de la sous-activité qui devraient découler directement des secteurs d’activité :
• les partenaires de l’industrie collaborent à l’élaboration des connaissances, des technologies, des approches et des systèmes de S et T;
• on obtient du financement des partenaires par des investissements gouvernementaux dans la recherche sur l’énergie propre;
• les connaissances sur l’efficacité énergétique et la réduction des émissions sont améliorées;
• la collaboration entre l’industrie, les établissements de recherche et les partenaires gouvernementaux est accrue.
• La sixième rangée indique les deux résultats intermédiaires de la sous-activité, qui devraient découler des résultats immédiats :
• l’industrie adopte les technologies éconergétiques et de réduction des émissions;
• la capacité canadienne d’élaboration et de mise en œuvre de processus éconergétiques est accrue.
• La septième rangée indique les trois résultats à long terme de la sous-activité, qui devraient découler des résultats intermédiaires :
• les processus industriels sont plus éconergétiques;
• l’industrie émet moins de GES et de PCA;
• l’industrie canadienne est plus compétitive.

Du côté droit du diagramme se trouve une boucle de rétroaction indiquant que plusieurs itérations de projets coopératifs permettant d’accroître les connaissances peuvent être nécessaires avant que la recherche ait atteint une maturité suffisante pour engendrer des résultats intermédiaires, comme l’adoption de technologies d’économie d’énergie et de réduction des émissions par l’industrie.

Description de la figure 2

La figure 2A indique la proportion de contributions annuelles de RNCan et d’autres sources aux projets du SEPI pour chaque année de la période de 2006-2007 à 2010-2011. Le graphique indique que les contributions annuelles totales aux projets du SEPI ont connu une diminution constante au cours de cette période. En 2006-2007, la contribution de RNCan aux projets était d’environ 8 millions de dollars, alors que les contributions d’autres sources étaient d’environ 4 millions de dollars, pour un total d’environ 12 millions de dollars. En 2008-2009, les contributions totales de toutes les sources étaient de 8,3 millions de dollars, dont environ 5,5 millions provenant de RNCan. En 2010-2011, les contributions totales étaient de 5,8 millions de dollars et la part de RNCan de ces contributions était à peine supérieure à 4,2 millions de dollars.

La figure 2B montre cette même tendance à la baisse, mais ventile les contributions annuelles aux projets du SEPI par type de contribution : en liquide ou en nature. En 2006-2007, près de 9,5 millions de dollars de la contribution totale de 12 millions ont été fournis en liquide, et le reste en nature. En 2008-2009, des contributions en liquide d’à peine moins de 7 millions de dollars et des contributions en nature d’à peine plus de 1,3 million de dollars composaient le total de 8,3 millions de dollars. En 2010-2011, sur le total de 5,8 millions de dollars, 4,5 millions de dollars étaient des contributions en liquide et 1,3 million de dollars étaient des contributions en nature.