Language selection

Recherche


Une approche communautaire

Version PDF (PDF, 2,017 Ko) | Suivant

La mise en oeuvre des Solutions énergétiques intégrées pour les collectivités (SEIC) exige la contribution de divers intervenants non gouvernementaux et des administrations locales appuyées par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux. L’approche en matière de SEIC exploite les synergies de nombreux secteurs à l’aide de composantes de base. Les facteurs qui influencent l’utilisation de l’énergie communautaire, ainsi que les obstacles qui compromettent la mise en œuvre de SEIC influent sur l’adoption de ces dernières.

L’environnement communautaire bâti englobe de nombreux secteurs qui, dans la plupart des collectivités, fonctionnent en grande partie de façon indépendante les uns des autres. Les SEIC exploitent les possibilités qu’offre le fait de considérer l’environnement communautaire bâti comme un système.

En exploitant les synergies de l’intégration des secteurs et de l’exploitation des possibilités à facettes multiples au sein de la collectivité, des économies au-delà de celles de chacun des secteurs peuvent être réalisées.

Plus important encore, les retombées des investissements en matière de SEIC vont au-delà d’une utilisation plus efficace des ressources et de la réduction des émissions. Elles comportent une grande variété d’avantages sur le plan social, économique et environnemental, notamment des villes où il est plus agréable de vivre et une meilleure qualité de vie pour les citoyens, une amélioration de la qualité de l’air et de l’eau, une stimulation de l’économie locale, une compétitivité accrue, une réduction des risques de fluctuation du prix de l’énergie et une attraction accrue pour de nouveaux investissements.

Les principaux intervenants et leur rôle

L’essor des SEIC nécessite la participation de plusieurs intervenants qui ont tous un rôle crucial à jouer.

Les administrations locales (notamment les administrations municipales ou régionales et les Premières nations) sont des acteurs clés, puisque leurs décisions en matière de zonage, de politiques et d’investissements ont une grande influence sur l’élaboration des SEIC. Elles approuvent habituellement les installations des SEIC et assurent le leadership au sein de la collectivité.

Les gouvernements provinciaux et territoriaux sont des intervenants importants, puisqu’ils définissent les cadres législatifs en vertu desquels les municipalités fonctionnent. Ils sont responsables de la majeure partie de la réglementation du secteur des ressources énergétiques et ils peuvent grandement influencer la capacité des services publics et des sociétés d’énergie à appuyer activement les SEIC. Ils offrent également des possibilités d’éducation et de formation, entreprennent des recherches et créent des outils pour appuyer les décisions, en plus de faire des investissements directs pouvant favoriser les SEIC.

Le gouvernement du Canada, par l’entremise de divers ministères et organismes, peut fournir des renseignements, effectuer des travaux de recherche et de développement et jouer un rôle de coordination et de facilitation en aidant les autres paliers de gouvernement à collaborer et à éviter les chevauchements.

Les promoteurs et les autres entreprises privées sont d’importants acteurs de la mise en application des SEIC. Grâce à des gouvernements qui favorisent des conditions propices aux SEIC, les promoteurs et l’industrie trouveront des modèles de gestion, acquerront les capacités et collaboreront avec les administrations locales pour faire des SEIC généralisées une réalité.

Les sociétés d’énergie, les services publics et les organismes de réglementation fournissent l’approvisionnement et les services en énergie qui sont essentiels aux SEIC. Ces solutions génèrent de nouvelles possibilités et de nouveaux modèles de gestion pour les services publics et les fournisseurs de services énergétiques compétitifs que les organismes de réglementation de l’énergie voudront considérer. Ce sont des intervenants cruciaux pour l’avenir des SEIC en raison de leur capacité d’attirer des investissements et parce qu’ils possèdent et supervisent les solutions intégrées utilisant des réseaux de distribution de l’électricité et d’infrastructures d’approvisionnement en carburant classique, la production locale d’énergie, les systèmes d’énergies renouvelables, l’entreposage, les systèmes régionaux et plus encore.

Élaborer des solutions énergétiques intégrées pour les collectivités nécessite lappui du milieu.
version textuelle - figure 4

Figure 4 - Version textuelle

L'image illustre six secteurs et six fonctions de support de l'environnement, qui constituent la structure des Solutions énergétiques intégrées pour la Communauté Solutions énergétiques intégrées pour les collectivités (SEIC). Les six secteurs consistent du transport, de l'approvisionnement et de la distribution d’électricité, des services communautaires locaux, de l’habitation et du bâtiment, de l'utilisation des terres et de la forme communautaire, et de l'industrie. Les fonctions de support de l’environnement consistent de l'information, du renforcement des capacités, de la politique et de la réglementation, de la simulation de marché, du leadership et de la technologie, des meilleures pratiques et des outils.

D’autres facilitateurs des SEIC travaillent à la création d’un environnement où les SEIC reçoivent l’appui du public et où l’on a la capacité de les mettre en oeuvre. Ces facilitateurs comprennent les associations professionnelles et industrielles, les organisations liées à l’éducation et les ONG. Les membres de la collectivité, par leurs choix en tant que citoyens et consommateurs, jouent également un rôle de premier plan dans l’essor des SEIC.

Les composantes sectorielles de base

Il existe, au sein de chaque secteur, des technologies et des techniques qui peuvent contribuer à la réalisation des possibilités intersectorielles qui façonnent les SEIC. Le regroupement de ces composantes de base peut produire des synergies qui réalisent un niveau de rendement énergétique qui était inatteignable autrement. Les composantes de base de cette section mettent en évidence certaines des technologies et des techniques de chaque secteur qui permettent aux collectivités de miser sur ces synergies au moment de l’élaboration sur mesure de leurs propres solutions.

Approvisionnement énergétique et distribution de l’énergie. Ces systèmes peuvent brancher les consommateurs d’énergie aux meilleures sources d’énergie pour chaque travail, en combinant les sources d’énergies renouvelables sur place et en interconnectant avec des réseaux de distribution d’énergie. Les éléments clés comprennent la récupération de la chaleur et la récupération en cascade de l’énergie, l’aménagement du potentiel local en matière d’énergie renouvelable, les systèmes énergétiques de quartier, les systèmes de production d’énergie décentralisés, les initiatives de gestion des réseaux de distribution d’électricité et les accumulateurs thermiques et électriques collectifs.

Transports. Les services et les infrastructures de transport peuvent faciliter le déplacement efficace des gens et des biens, en permettant aux résidants et aux entreprises d’opter pour le meilleur mode de transport pour chaque déplacement, et en s’assurant que les biens sont transportés efficacement au sein de la collectivité. Les possibilités comprennent la concentration du lotissement près des centres et des nœuds urbains; l’aménagement axé sur le transport en commun; les infrastructures pour les cyclistes, les piétons et les véhicules à carburant de remplacement; les pivots intermodaux et le transport efficace des marchandises.

Habitations et bâtiments. Les habitations et les bâtiments peuvent constituer un habitat très agréable et efficace pour les gens et les entreprises qui sont branchés aux sources d’énergie appropriées. Dans ce secteur, le haut niveau d’efficacité énergétique, l’intégration stratégique de technologies actives et passives d’énergies renouvelables, l’optimisation de la conception de la connexion à des microréseaux de distribution et à des systèmes énergétiques communautaires à faible exergie locaux utilisant la chaleur et les énergies renouvelables, peuvent tous contribuer aux SEIC.

Secteur industriel. Les entreprises peuvent contribuer aux SEIC en tant que consommatrices et productrices d’énergie et fournisseuses de chaleur résiduelle. Elles peuvent également fournir des déchets organiques et d’autres combustibles résiduaires pour la production d’énergie propre. Parmi les autres possibilités, mentionnons la récupération de l’énergie en cascade et de la chaleur, les installations à faible consommation d’énergie ou d’exergie, l’intégration stratégique de technologies d’énergie renouvelable et les combustibles propres et renouvelables.

Services communautaires locaux. Les services communautaires peuvent exploiter les possibilités d’efficacité énergétique, la récupération de la chaleur et le rendement énergétique accru dans la production. Ces possibilités comprennent des infrastructures efficaces, telles que l’éclairage des voies publiques, le pompage et le traitement de l’eau et des égouts, la gestion des déchets, y compris la réduction des déchets, le recyclage accru et la production d’énergie à partir de déchets organiques et résiduels. L’efficacité dans les activités des administrations locales (p. ex., les bâtiments, les parcs de véhicules, le déneigement et la gestion des espaces verts) compte parmi les autres éléments clés.

Utilisation du sol et morphologie urbaine. Bien que ce ne soit pas du ressort des secteurs de l’énergie, l’utilisation du sol et la morphologie urbaine constituent la base de SEIC viables. Au fil du temps, le tracé et la forme des voies publiques, la densité de la population, l’aménagement communautaire et le type de bâtiments, peuvent être modifiés afin de créer des conditions favorables aux SEIC. Parmi les solutions possibles, on compte une sélection accrue d’entreprises et de services à distance de marche ou de vélo, un service de transport en commun amélioré et une intégration systématique de technologies actives et passives d’énergies renouvelables.

Un environnement favorable. Bien que les politiques, les programmes, les règlements et les outils ne forment pas un secteur en eux-mêmes et à eux seuls, ils contribuent aux synergies nécessaires pour réaliser un niveau de rendement énergétique inatteignable autrement au sein des collectivités. De plus amples renseignements sur les éléments habilitants clés pouvant être utiles aux gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, se trouvent aux pages 23 et 24.

Possibilités intersectoriellesNote de bas de page 10

Améliorer l’efficacité. Réduire l’apport d’énergie requise pour un niveau de service donné.

Optimiser la morphologie urbaine. Utiliser les décisions concernant l’utilisation des terres pour réduire et concentrer la demande en énergie, soutenir un réseau de transport efficace et faciliter l’intégration de sources d’énergie renouvelables.

Accroître les utilisations complémentaires mixtes. Positionner les activités de façon à réaliser des gains de rendement des secteurs de production, de distribution et de transport.

Optimiser l’exergie. Associer la qualité de l’énergie aux applications (voir l’encadré ci-contre).

Exploiter la chaleur. Recueillir toute l’énergie thermique possible et l’utiliser à nouveau, plutôt que de la rejeter.

Réduire les déchets. Utiliser toutes les ressources disponibles, telles que les gaz d’enfouissement et les déchets municipaux, agricoles, industriels et forestiers.

Utiliser des ressources renouvelables. Tirer profit de l’énergie solaire, éolienne et géothermique locale.

Utiliser les réseaux de distribution de façon stratégique. Optimiser l’utilisation des réseaux de distribution d’électricité, de carburant et d’énergie thermique de toutes les sources et en assurer la fiabilité.

L’exergie se rapporte à la qualité de l’énergie et à l’utilisation de la bonne qualité de l’énergie pour la bonne application.

Par exemple, pourquoi brûler du combustible à des températures élevées pour chauffer un bâtiment, alors que la chaleur résiduelle générée par un procédé industriel et récupérée en cascade ou l’utilisation de la chaleur à basse température d’un système à énergie solaire peuvent faire l’affaire?

Les SEIC exploitent à la fois l’énergie et l’exergie pour fournir un rendement énergétique optimal.

Éléments influant sur la mise en oeuvre des SEIC

Il est reconnu qu’un certain nombre d’éléments influent sur la mise en oeuvre des SEIC et doivent être pris en considération pour assurer l’efficacité des efforts collectifs visant à en accélérer leur implantation. Ces éléments comprennent les facteurs qui influent directement sur la façon dont les collectivités consomment l’énergie, ainsi que les obstacles qui affectent l’adoption généralisée des SEIC. Les gouvernements devraient considérer ces éléments au moment de l’élaboration et de la mise en œuvre de stratégies visant à favoriser les SEIC.

Facteurs qui influencent la consommation d’énergie des collectivités

L’accessibilité aux terres et à l’énergie. L’accessibilité à bas prix à l’énergie et aux terres a déterminé les modèles d’aménagement communautaires des dernières décennies. Une hausse du prix de l’énergie et du sol entraînera une consommation plus efficace de l’énergie, mais les signaux relatifs aux prix n’assureront pas à eux seuls la concrétisation de la vision des SEIC, en raison de leur interaction complexe avec d’autres facteurs.

La technologie. Les systèmes énergétiques et de transport modernes ont déjà supplanté l’accès au bois et à l’eau qui faisait autrefois partie des principaux facteurs influant sur la taille, la forme et l’emplacement des collectivités. D’autres technologies de pointe (notamment les technologies de l’information et des énergies renouvelables) façonneront les collectivités de demain.

La démographie. D’ici à 2020, jusqu’à 85 p. 100 de la population croissante du Canada, et la grande majorité des emplois seront concentrés dans les grands centres urbains. Dans le passé, l’urbanisation a entraîné l’expansion tentaculaire et la dépendance à l’égard des véhicules personnels. Or, grâce aux politiques gouvernementales appropriées, les collectivités futures pourront évoluer vers des configurations plus efficaces.

Ceci est une photo d'un immeuble résidentiel à logements multiples et une piste cyclable au Centre in the Park, comté de Strathcona, Alberta.

Des pistes cyclables et des sentiers piétonniers relient des immeubles à haut rendement énergétique desservis par un système communautaire d'énergie. (Centre in the Park, comté de Strathcona, Alberta)

Les collectivités rurales et nordiques. En dépit de l’urbanisation rapide, environ un cinquième des Canadiens vivent toujours dans de petites collectivités rurales ou nordiques, dont l’économie, pour la plupart, est axée sur les ressources. Même dans les petites villes, la densité de la population et les possibilités sont suffisantes pour mettre en œuvre des SEIC. De plus, de nouvelles possibilités d’énergies renouvelables peuvent renforcer l’économie locale par la création d’emplois et la réduction des sorties de fonds pour l’achat d’énergie.

La sécurité énergétique. Les collectivités perçoivent de plus en plus l’énergie comme une ressource stratégique en raison des risques de pannes de service et des coûts qui s’y rattachent. Cette préoccupation fait de la volonté d’utiliser des sources d’énergie sûres et fiables un élément moteur des SEIC, lesquelles rendent les collectivités moins susceptibles à faire face à des pannes de l’ensemble du système.

Le renouvellement des infrastructures. Les collectivités de tout le pays doivent renouveler leurs infrastructures vétustes. Les investissements nécessaires à ces remplacements créeront des occasions d’intégration de SEIC.

Les préférences des consommateurs. Les choix des consommateurs ont contribué au façonnement des collectivités d’aujourd’hui. Les préférences des consommateurs changent et on constate un important mouvement de transition vers des solutions de rechange économiques et bénéfiques pour l’environnement et pour la qualité de vie. Les SEIC apporteront aux citoyens de nouvelles options pouvant répondre à leurs exigences en matière d’efficacité, d’accessibilité et de commodité énergétiques.

Ceci est une photo d'un équipement de production d'électricité à Guelph, Ontario.

L'électricité tirée des gaz d'un site d'enfouissement est envoyée au réseau. L'utilisation de l'énergie thermique résiduelle dans un nouveau lotissement avoisinant est en cours d'évaluation. (Ecotricity Guelph Inc., Guelph, Ontario)

Les changements climatiques. L’inquiétude grandissante à l’égard des changements climatiques nourrit l’intérêt pour des solutions susceptibles de concrétiser les importantes réductions nécessaires à la stabilisation des conditions climatiques à l’échelle mondiale. Des collectivités ont également commencé à examiner la façon dont les SEIC peuvent les aider à s’adapter aux changements climatiques, par exemple, en contribuant à les rendre moins vulnérables aux conditions extrêmes, grâce à des systèmes énergétiques plus résistants.

Les obstacles à la mise en oeuvre des SEIC

La complexité des relations intergouvernementales et de la prise de décision. La complexité des décisions requises à toutes les étapes de la planification, de l’élaboration et de la mise en oeuvre des SEIC met à rude épreuve la structure actuelle des prises de décision. Ces dernières sont techniquement complexes, exigent la participation de nombreux groupes d’intervenants et traversent les frontières entre les ministères et entre les paliers de gouvernement. Il existe peu d’outils pour faciliter le processus de prise de décision mettant à contribution plusieurs intervenants.

Une mauvaise compréhension des possibilités des SEIC. Les principaux intervenants ont une piètre connaissance des possibilités des SEIC en vue de contribuer à l’atteinte des objectifs nationaux relatifs aux GES et à l’efficacité énergétique, ce qui est en partie attribuable au fait que les pratiques exemplaires ne sont pas bien documentées et que les avantages ne sont pas quantifiés de façon adéquate. En outre, l’analyse de rentabilisation de la mise en œuvre de SEIC n’est pas clairement exposée.

Le manque d’expérience et d’expertise en ce qui concerne les SEIC. Le Canada a peu d’expérience en ce qui concerne l’intégration complète de SEIC. Le manque de projets en cours fait obstacle au développement de l’expertise technique nécessaire pour diriger de nouveaux projets ou favoriser l’expertise dont les gouvernements ont besoin pour entreprendre l’analyse financière, technique et stratégique des SEIC.

Un soutien inadéquat en matière de politique et de réglementation. Les cadres de politiques et de réglementation actuels ne favorisent pas la promotion des SEIC. De plus, les initiatives en matière de SEIC pourraient être compromises par des politiques et des règlements non coordonnés ou contradictoires, ou être confrontées à des lacunes dans les compétences. En outre, les propositions de SEIC font concurrence à d’autres priorités gouvernementales.

Le soutien limité de la recherche, du développement, de la démonstration et de la mise en valeur. Les niveaux actuels de financement pour les programmes de recherche et de développement, ainsi que de démonstration et de mise en valeur, ne soutiendront pas la rapide transition nécessaire à la réalisation du potentiel des SEIC.

Une intégration limitée des préoccupations en matière d’énergie dans la planification communautaire. Les lois et les politiques provinciales et territoriales ne nécessitent généralement pas de processus de planification communautaire pour considérer les problématiques énergétiques. Dans la plupart des provinces et des territoires, des plans énergétiques communautaires ne sont pas requis. Le manque d’objectifs obligatoires de réduction des émissions de GES propres aux collectivités affaiblit le signal lancé aux autorités locales de combler cette lacune.

Le manque de données et d’outils d’analyse accessibles. La localisation et la compilation des données nécessaires pour déterminer, évaluer, sélectionner et mettre en œuvre des SEIC peuvent être coûteuses et exiger beaucoup de temps. Souvent, les données pertinentes à l’échelle communautaire ne sont pas accessibles, et celles qui sont recueillies ne sont souvent pas présentées de façon à appuyer la planification de l’énergie communautaire. De plus, les outils visant à déterminer et à analyser les possibilités des SEIC ne sont pas accessibles à toutes les collectivités.

Des obstacles démographiques. Dans plusieurs régions du Canada, de nombreuses petites collectivités font face à un déclin de la population. L’implantation de SEIC dans ces circonstances peut s’avérer difficile, ces collectivités ne disposant peut-être pas des ressources nécessaires en vue d’apporter d’importants changements.

Des obstacles culturels. Pour réussir à mettre en œuvre des SEIC, il importe de tenir compte des préférences culturelles des Canadiens, en faisant en sorte que les caractéristiques, les avantages et les retombées des SEIC amènent, s’il y a lieu, des choix et des changements positifs pour les consommateurs.

Précédent | Table des matières | Suivant

Détails de la page

Signaler un problème sur cette page
Veuillez sélectionner toutes les cases qui s'appliquent :

Merci de votre aide!

Vous ne recevrez pas de réponse. Pour toute demande, contactez-nous.

Date de modification :